MON AVENTURE EMRYS
MEMBRE ADHÉRENT DE LA COOPÉRATIVE, SITE NON OFFICIEL
Site OFFICIEL : www.emryslacarte.fr
Mon aventure a commencé il y a bientôt 5 ans, le 24 Mars 2018.
Ma situation à l’époque
Je venais de quitter le salariat pour me lancer en tant que freelance dans la gestion pour TPE/PME. De formation Contrôleuse de Gestion, je savais qu’à la campagne, je risquais de ne pas trouver tant que clients que cela 🤯
Le Contrôle de Gestion est un service demandé en général par des sociétés d’une certaine taille, ce qui ne courre pas les rues dans ma région.
Je me heurtais donc à plusieurs risques :
– trouver peu de missions
– ou/et trouver des missions ponctuelles.
Pour pallier à ces difficultés, plusieurs solutions s’offraient à moi :
– augmenter mes champs de compétences pour pouvoir proposer des services plus adaptés à la cible professionnelle locale ;
– proposer des services à des particuliers pour gérer leurs finances personnelles ;
– diversifier mes activités pour m’assurer un revenu minimum entre la fin d’une mission et le début d’une nouvelle.
Solution 1 :
Je suis donc repartie en formation à 42 ans en cabinet comptable pour revoir les bases de la comptabilité ce qui allait pouvoir me permettre de proposer des accompagnements en secrétariat amélioré, gestion ET comptabilité : un contrôleur de gestion analyse et triture les chiffres dans tous les sens mais ne saisi pas les écritures!
Solutions 2 et 3 :
En parallèle de cette formation, j’ai commencé à fouiller sur le net pour trouver l’inspiration : comment proposer mes services aux particuliers, sous quelle forme, comment les aider, et quelles activités développer pour m’assurer un revenu entre 2 missions???
Au fur et à mesure de mes recherches et de mes lectures, très inspirantes d’ailleurs, je suis tombée sur un article de blog qui parlait d’un concept intéressant.
EMRYS
EMRYS était une société de service qui proposait de consommer différemment pour recevoir au fil du temps des avantages sur nos dépenses, puis du crédit d’achat puis de plus en plus de crédit d’achat si l’on restait fidèle au concept!
Ce concept, s’il fonctionnait vraiment était non seulement un outil qui complèterait à merveille un accompagnement budget que je pourrais proposer à des particuliers, mais en plus, il pourrait m’assurer un petit revenu entre 2 missions 🧐
Et puis ce concept pouvait intéresser tout le monde finalement puisqu’il était basé sur le marché de la consommation des ménages, peu importe sa situation personnelle (marié, divorcé, célibataire) avec ou sans enfant. Nous consommons tous au quotidien pour les besoins de nos foyers : alimentation, vêtements, hygiène, beauté, carburant, vacances…
C’était simple à mettre en place : il fallait juste changer son moyen de paiement.
Ne plus payer en CB, chèque ou espèces mais en Cartes Cadeaux tout simplement!
On était loin des astuces beaucoup plus chronophages comme la recherche et la découpe des bons de réductions (astuces qui d’ailleurs peuvent se cumuler à Emrys).
Personnellement, ca m’allait bien.
Nos débuts
Je n’ai pas forcément eu de peur : je me suis tout de suite lancée et me disant « Qui ne tente rien n’a rien! ».
Et puis, je n’avais rien à perdre si ce n’est le cout de ma licence annuelle mais on est loin de devoir investir des milliers d’euros.
On n’est pas du tout sur un programme d’investissement ou on doit économiser pour que notre argent nous rapporte. C’est tout l’inverse finalement, c’est l’argent que l’on dépense au quotidien qui nous rapporte.
Et pour le coup, comme nous sommes un foyer de 5 personnes, toutes les catégories budget augmentent au fil du temps.
Alors si ces euros dépensés pouvaient réellement nous rapporter plus tard, ca valait le coup de tenter.
Le seul point qui me faisait douter, c’était de savoir si tous les membres du foyer allaient réussir à changer leurs habitudes pour consommer à la mode Emrys. Et 3 mois plus tard, force était de constater que ca c’était fait comme une lettre à la poste (sachant qu’il y a 5 ans, les partenariats étaient beaucoup moins nombreux et beaucoup plus contraignants)!
Mon côté cartésien, par contre, avait besoin de comprendre le fonctionnement dans son ensemble, de savoir quel était le business modèle, d’ou provenait l’argent, la viabilité de la redistribution des avantages, etc…
Alors j’ai épluché les vidéos explicatives et harcelé ma upline de questions 🫣.
4 mois plus tard, les seuls points bloquants que j’avais trouvés étaient plus de l’ordre de la capacité et de la volonté à changer ses habitudes sur le moyen terme, car ce concept ne fonctionne que sur la longévité et la fidélité des membres au programme. Il faut donc pouvoir s’adapter, peut-être changer quelques habitudes de consommation pour optimiser au maximum ses avantages et maintenir ses nouveaux reflexes sur la durée.
On a vite adopté les réflexes avec mon mari, et aujourd’hui, on dépense au maximum via Emrys, jusqu’à l’abonnement de sport, les locations de ski, ou l’abonnement Deezer. Je dirais même plus : à chaque fois que l’on sort la CB ou le chèque, on a l’impression de perdre un bout de notre future retraite de consommateur. On peut considérer Emrys comme un simple bon plan, un outil parmi tant d’autres pour améliorer son pouvoir d’achat. Mais on peut aussi, si on aime le concept, le développer et en faire un complément de revenu : en aidant les autres à gagner un peu de pouvoir d’achat, on s’aide soit même. Du gagnant-gagnant pour tous!
5 ans après m’être lancée et surtout bien investie dans ce système, je fais partie de ceux qui ont autofinancés leurs dépenses donc plus que ravie de m’etre lancée en ce fameux jour du 24/03/18.
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